Schubert

Publié le par Jean von Roesgen

Es würde mich nicht wundern, wen Schuberts so respektvoller musikalischer Umgang mit Wort und Sprache aus einer gewissen Praxis der Gregorianik bei den wienern Sängerknaben zu erklären ist, und zwar keine Medicaea-Gregorianik.

 

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Cela ne m'étonnerait pas qu'on déduise le respect infini de Schubert devant les texte qu'il met en musique d'une pratique du chant grégorien en tant que chanteur chez les petits chanteurs de Vienne. On n'y chantait sûrement pas du néo-gallican, et peut-être même pas les versions revisées après le concile de Trente (la Medicée)...

 

La décadence du chant gégorien n'était pas partout pareil. Les Chartreux s'en protégeaient, et certaines régions de l'Est restaient à l'abri aussi. Pensez à l'excellente édition de Pataviensis... elle a dû faire école.

Publié dans musique

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