racines nocturnes
Pour moi, les matines (qui restent un idéal monastique: en dehors d'éventuels séjours en monastère, j'arrive tout juste à lire rapidement les psaumes concernés...) sont les racines de toute liturgie des heures (et même au-delà: se sont même les racines de la messe; ce sont les racines de la fête du jour, du saint du jour, du temps liturgique...)... elles ont leur racine dans une pratique chrétienne très vite et trop vite abandonée: les veillées qui ont leur propre racine dans les nuits blanches qu'ont causé l'humanité en désarroi et l'intimité au Père à Jésus.
Ces nuits sont les racines de sa prédication. Ces liturgies de l'Eglise primitive étaient la racine de leur dimanche et de leur semaine...
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Cette idée de vigiles comme racines liturgiques me plaît:
Elles ont lieu dans le noir, comme sous terre. Leur lieu de prédilection: les cryptes (les catacombes).
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C'est parce que les matines ont lieu en générale sans assistance de fidèles, dans les monastères, qu'elles montrent les bons soins liturgiques des moines entre eux et envers leur Dieu. (Dieu premier servi?)
Rien d'étonnant du coup -ou d'autant plus révélateur- que Solesmes avait tout juste avancé la restauration des nocturnes des grandes fêtes où le peuple risque d'assister?
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Ces nuits sont les racines de sa prédication. Ces liturgies de l'Eglise primitive étaient la racine de leur dimanche et de leur semaine...
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Cette idée de vigiles comme racines liturgiques me plaît:
Elles ont lieu dans le noir, comme sous terre. Leur lieu de prédilection: les cryptes (les catacombes).
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C'est parce que les matines ont lieu en générale sans assistance de fidèles, dans les monastères, qu'elles montrent les bons soins liturgiques des moines entre eux et envers leur Dieu. (Dieu premier servi?)
Rien d'étonnant du coup -ou d'autant plus révélateur- que Solesmes avait tout juste avancé la restauration des nocturnes des grandes fêtes où le peuple risque d'assister?
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