ténèbres et lumières...
Dans les années 50/60, une certaine peinture chrétienne travaillait en traits et en aplats (Saget au Luxembourg et à Ker Moussa, frère Yves de la Pierre qui vire), comme s'il s'agissait de proplasmes d'icônes avec des écritures épaissies et régularisées... mais ils ne montaient jamais les lumières. Etait-ce pour rester dans les ténèbres dans lesquelles erraient les arts chrétiens à cette époque?