signes et singes du temps

Publié le par Jean von Roesgen

 En tant que chrétien catholique, on ne peut pas balayer comme ça d'une aile de main les décisions plus que majoritaires d'un concile réunissant (plus que) la majorité des évêques (catholiques) du monde. Pas plus que les commissions après le concile n'auraient pu ou dû le faire, ni ceux qui appliquaient les résultats des commissions.

 En même temps, il faut respecter la vérité historique, les délais et les moments (kairos) et lire les signes des temps: La majorité des évêques, dix ou quinze ans après le concile aurait voté des mentions toutes différentes au sujet de la langue liturgique et elle aurait donné les précisions requises au sujet de l'orientation de l'autel, alors que la majorité des évêques, en 1967 était loin d'âtre d'accord avec la (nouvelle) messe dite "normative"...

 Dans moins de trente ans, la majorité des évêques se sera probablement réorienté vers un Esprit plus conciliaire et plus traditionnel -dans le bon sens du terme: vivant à travers siècles et générations.

Publié dans liturgie

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