oraisons nouvelles
"Méfiez-vous, ma soeur, il y aura sûrement des oraisons nouvelles à la grande messe..."
-"Vous n'avez pas de meilleures nouvelles au petit matin?"
-"Mais c'est une bonne nouvelle: des oraisons toutes fraîches, originales, près de la vie concrète, fraternelles, des oraisons qui nous touchent et qui nous parlent... (C'était de l'ironie) N'empêche que la dernière de ces oraisons, à cette première petite messe du matin n'était pas si mal..."
On en arrive là, avec ces créations liturgiques: A se mettre en position de critique, de juge, d'appréciateur liturgique...
Voilà ce à quoi nous sommes tentés depuis que ces (re)formateurs liturgiques s'appliquent à l'égorgement, la boucherie et à la charcuterie, la décomposition, le collage et la recomposition des prières liturgiques...
Et d'une manière toute à fait rétroactive, cela peut même nous emmener à nous poser en juge des oraisons vieilles d'une tradition plus que millénaire... alors que les trésors liturgiques de la tradition, normalement (et normativement) sont ceux qui ont déjà largement passé les jugements, ou, mieux encore, qui se se sont relevés (qui sont ressuscités) de leur condamnation...
Pareil pour les canticleurs: Ils ne peuvent pas nous laisser indifférent, ils nous incitent à avoir un avis sur leurs travaux. Mais c'est parfaitement aberrant, de prendre la même position de "j'aime ou j'aime pas" vis-à-vis du chant propre de la tradition de l'Eglise catholique romaine...
-"Vous n'avez pas de meilleures nouvelles au petit matin?"
-"Mais c'est une bonne nouvelle: des oraisons toutes fraîches, originales, près de la vie concrète, fraternelles, des oraisons qui nous touchent et qui nous parlent... (C'était de l'ironie) N'empêche que la dernière de ces oraisons, à cette première petite messe du matin n'était pas si mal..."
On en arrive là, avec ces créations liturgiques: A se mettre en position de critique, de juge, d'appréciateur liturgique...
Voilà ce à quoi nous sommes tentés depuis que ces (re)formateurs liturgiques s'appliquent à l'égorgement, la boucherie et à la charcuterie, la décomposition, le collage et la recomposition des prières liturgiques...
Et d'une manière toute à fait rétroactive, cela peut même nous emmener à nous poser en juge des oraisons vieilles d'une tradition plus que millénaire... alors que les trésors liturgiques de la tradition, normalement (et normativement) sont ceux qui ont déjà largement passé les jugements, ou, mieux encore, qui se se sont relevés (qui sont ressuscités) de leur condamnation...
Pareil pour les canticleurs: Ils ne peuvent pas nous laisser indifférent, ils nous incitent à avoir un avis sur leurs travaux. Mais c'est parfaitement aberrant, de prendre la même position de "j'aime ou j'aime pas" vis-à-vis du chant propre de la tradition de l'Eglise catholique romaine...