... et non pas nos sentiments...
C'est dans la post-communion du 24e dimanche du temps ordinaire je crois: Que prévale, dans notre communion au corps du Christ l'influence du Sauveur et non pas nos sentiments...
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Que prévalent donc, dans le choix de la musique qui l'accomagne non pas nos sentiments (J'aime/ j'aime pas; cela me plaît, cela ne me plaît pas; cela me parle, cela ne me dit rien...), mais l'influence de notre Saveur: Son inspiration dans la tradition (discipline?) de Son Eglise...
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C'est du travail, pour sûr, un travail gratifiant, en non une paresse infantilisante...
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Que prévalent donc, dans le choix de la musique qui l'accomagne non pas nos sentiments (J'aime/ j'aime pas; cela me plaît, cela ne me plaît pas; cela me parle, cela ne me dit rien...), mais l'influence de notre Saveur: Son inspiration dans la tradition (discipline?) de Son Eglise...
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C'est du travail, pour sûr, un travail gratifiant, en non une paresse infantilisante...