fraternité Paul VI
Je ne sais plus retrouver la page humoristique sur le net qui racontait que dans moins de 50 ans, il y aura une fraternité Paul VI à qui on autorisera de célébrer la messe en vernaculaire, à des heures aménagés, une fois par mois du genre à 16 h de l'après-midi, dans des petites chapelles excentrées, à condition qu'ils viennent avec leur matériel (table pliable, ou sur roulettes, je crois qu'il était même question de planche à repasser, gobelets en terre cuite etc. feuilles volantes pour les chants, guitares, batteries, tamtams... grosses galettes azymes comme hosties) qu'ils installent eux-même et rangent aussitôt la messe finie...
On m'a même soufflé qu'ils auront un Mouvement Propre de la part du pape pour légitimer leurs activités.
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Ceci dit, je n'aurai par tout pas aimé être à la place de ce pape (Paul VI) qui a dû faire ce qu'il a pu avec ce qu'il était. Et c'est là une définition tout à fait correcte d'une sainteté tout à fait respectable. Toujours est-il qu'il me donne souvent une impression bien plus héroïque que la hauteur de l'enjeu auquel il s'engage. Il y a comme un drôle de paradoxe chez lui: Il (se) sacrifie, mais à court terme, on ne voit pas vraiment la victime qui sauve, qui relève, qui se relève... on ne voit pas pour quel bien ou pour quel mieux... C'est peut-être à très long terme qu'on se rendra compte à quel point il a vu et fait juste. Mais à très court terme, il y a l'hémorragie du sacerdoce et la dégringolade du tout sacré, à moyen terme un certain succès de libérations pastorales, liturgiques, ce qu'ils appellent leur bouffée d'oxygène, (enfin on prie ensemble ce qu'on comprend), à terme actuel des rangs d'églises vides (uniquement en Europe je veux bien croire)... et à long terme??? Peut-être qu'il suffira de prendre au sérieux ce qu'il a vraiment dit et écrit, et pas seulement ce qu'il a signé de Bugnini et compagnie avant 1975.
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Ceci dit, ce serait sûrement profitable pour une plus grande paix liturgique, s'il y avait plus d'endroits à célébrer la liturgie selon le missel de Paul VI -strictu rubrico- en latin et tourné vers l'orient.
(http://pagesperso-orange.fr/radix.ecclesiae/lit.messes.latin.html)
On m'a même soufflé qu'ils auront un Mouvement Propre de la part du pape pour légitimer leurs activités.
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Ceci dit, je n'aurai par tout pas aimé être à la place de ce pape (Paul VI) qui a dû faire ce qu'il a pu avec ce qu'il était. Et c'est là une définition tout à fait correcte d'une sainteté tout à fait respectable. Toujours est-il qu'il me donne souvent une impression bien plus héroïque que la hauteur de l'enjeu auquel il s'engage. Il y a comme un drôle de paradoxe chez lui: Il (se) sacrifie, mais à court terme, on ne voit pas vraiment la victime qui sauve, qui relève, qui se relève... on ne voit pas pour quel bien ou pour quel mieux... C'est peut-être à très long terme qu'on se rendra compte à quel point il a vu et fait juste. Mais à très court terme, il y a l'hémorragie du sacerdoce et la dégringolade du tout sacré, à moyen terme un certain succès de libérations pastorales, liturgiques, ce qu'ils appellent leur bouffée d'oxygène, (enfin on prie ensemble ce qu'on comprend), à terme actuel des rangs d'églises vides (uniquement en Europe je veux bien croire)... et à long terme??? Peut-être qu'il suffira de prendre au sérieux ce qu'il a vraiment dit et écrit, et pas seulement ce qu'il a signé de Bugnini et compagnie avant 1975.
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Ceci dit, ce serait sûrement profitable pour une plus grande paix liturgique, s'il y avait plus d'endroits à célébrer la liturgie selon le missel de Paul VI -strictu rubrico- en latin et tourné vers l'orient.
(http://pagesperso-orange.fr/radix.ecclesiae/lit.messes.latin.html)